CENTRE SOCIAL OCCUPE AUTO-ORGANISE LE PALMIER …
Des procès et des parpaings !
Sur la lâcheté du pouvoir, et ses coups de poignards dans le dos.
Petit historique :
St girons, depuis 5 ans a vu naître deux expériences d’autogestion, avec l’ouverture en centre ville de l’allant vers,
bâtiment vétuste appartenant à la mairie , expulsé et muré de force après 4 mois, et le Palmier 4 ans de vie. Une
petite maison a coté de l’usine abandonnée de Lédar et propriété de la communauté de communes, elle aussi laissée a
l’abandon .
2012….2016
quelques années de joyeux bordels, de rencontres, d’initiatives, un centre social avec plein de possibles.
A l’affiche :
Des concerts, des soirées, des présentations de livres et revues, projections de films suivies de débats… Un lieu de
rencontre et partage au delà du modèle « consomme paye et casse toi » qui est le cadre classique légal et
institutionnel, la sacro-sainte norme qui nous asphyxie.
Un lieu qui s’est voulu incluant, ouvert, un endroit aimé par plein de gens qui ont participé aux initiatives ou juste
fait un clin d’œil de loin. Merci a elleux.
L’argent récolté par les événements, nous a permis de nous autofinancer, mais surtout d’aider des collectifs et des
personnes, dans un esprit d’entraide et d’autogestion face à la répression et la précarité. Le blog en garde les archives.
Lle milieu de 2016, est caractérisé par l’avis d’expulsion, (rendu du procès d’expulsion en mai 2015) a la suite d’une
longue liste de procès, (la plupart gagnés par le Palmier), le collectif fatigue, des gens partent, un peu comme cela
arrive trop fréquemment. d’autres arrêtent d’alimenter les ouvertures au public. Les derniers 6 mois il n’y a plus
d »initiatives, mais il reste le siège du syndicat de la C.N.T (Confédération Nationale du Travail), et quelques proches
du Palmier qui utilisent le parking pour bricoler.
Le palmier donc sommeille.
Juin 2017, les tractopelles arrivent, détruisent les clôtures et tout sur leurs passages, le magnifique cerisier, la scène,
les arbres fruitiers. Les véhicules de certain-es garés a coté disparaissent , les 2 caravanes sont enlevées, les portes
fracassées et murées avec des parpaings, et oui nos amis les parpaings !
En étant pas prévenu-es aucunes de nous n’a pu récupérer ce qui restait à l’intérieur.
Tout en sachant que la maison n’était pas concernée par l’avis d’expulsion , des questions se posent
Le maire et le préfet ont profité du noir pour poignarder dans le sommeil , celleux qui pour
certain-es représentaient un dérangement à la norme aveuglante ?
La popularité du lieu, les a mordu aux fesses, leur enlevant tout courage ?
On se fait accuser d’être dans l’illégalité, c’est l’hôpital qui se fout de la charité ?
Ça a coûté combien cette courageuse manœuvre de murage ?
Sincèrement détruire le cerisier chargé de cerises c’est idiot, j’ai pas d’autres mots.
Pendant la vie du palmier des pratiques collectives d’autodéfenses et d’entraide, de rigolades et engueulades, des luttes
gagnées ou perdues ne peuvent pas être bâillonnées derrière vos murs.
Nous sommes et serons toujours sable dans les rouages de votre vieux monde !
Monsieur le maire, mais vous avez un contrat avec une boite de parpaings ou quoi ?!!!
Individualités anarchistes ;
nvoyant de l’argent liquide pour le compte d’un trafiquant d’armes, Ordell Robbie. Un jour, un agent federal et un policier de Los Angeles la cueillent à l’aéroport. Ils comptent sur elle pour faire tomber le trafiquant. Jackie échafaude alors un plan audacieux pour doubler tout le monde lors d’un prochain transfert qui porte sur la modeste somme de cinq cent mille dollars. Mais il lui faudra compter avec les complices d’Ordell, qui ont des méthodes plutôt expéditives.
L’odyssée sanglante et burlesque de petits malfrats dans la jungle de Hollywood à travers trois histoires qui s’entremêlent.
Après un hold-up manqué, des cambrioleurs de haut vol font leurs comptes dans une confrontation violente, pour découvrir lequel d’entre eux les a trahis.
xy d’Austin, peut enfin se détendre avec ses meilleures copines, Shanna et Arlene. Ce TRIO INFERNAL, qui vit la nuit, attire les regards dans tous les bars et dancings du Texas. Mais l’attention dont ces trois jeunes femmes sont l’objet n’est pas forcément innocente.